Aller, par ci, par là, gambader, croire que tout est possible, sans naïveté.
Car, au fond, on sait bien qu’on ne maîtrise jamais tout, qu’on ne peut être désirée comme on le voudrait.
Alors, parfois, on s’asseoit, seule, sur un banc, jeté par on ne sait qui.
Et on attend, calme et sereine, la mort sans doute, la vie d’abord…
Quoiqu’il advienne, ce sera un corps à corps !
Massimo, novembre 15