On a besoin de ses racines, qui sommes-nous sans elles ? Je flotte comme la barque détachée dans la grande mer sombre…. qui va m’avaler ? Comme Walé, j’aimerais dire « laisse-moi dormir sur les feuilles, je ne crains pas le vent »… Alors, je lis Chiraz : « même si l’abri de ta nuit est peu sûr, il n’existe ps de chemin sans terme ; ne sois pas triste »
Dépasser son passé…
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